DLS produit de nombreux textes difffusés à la presse et aux décideurs du monde de la Santé
vous trouverez ci après une sélection de
quelques textes anciens, mais qui par certains aspects gardent
toute leur pertinence.
réflexions autour de la démographie médicale
ce texte de novembre 1991 montre comment les propositions illusoires et
dangereuses de l'assurance maladie, censées s'attaquer à
l'augmentation des couts en abaissant le nombre de prescripteurs, vont
à l'inverse aggraver le problème.
Plutot que de contourner les bonnes questions, mieux vaudrait proposer de vraies solutions.
l'assurance maladie en question
mal gérée, mal financée, jalouse de ses
prérogatives mais cimetierre de données essentielles,
l'assurance maladie est un obstacle à un financement sain et
à une régulation efficace du système de
santé, tout en représentant un frein à la
croissance économique.
Tout en démontrant l'absurdité et l'absence de fondement
économique de la "complainte des prélévements
obligatoires", DLS proposait dès 1991 son remplacement par un
système de santé financé par des
prélévement fiscaux assis sur l'ensemble du PIB.
gynécologie médicale
Pendant l'année 2000, les praticiens spécialisés
en gynécologie médicale mobilisaient les médias
pour la défense de leur exercice.
Cette revendication en apparence sympathique cache cependant des
ambiguïtés qui la rendent, au final, bien contestable.
à propos du Rapport de l'IGAS sur les médecins conseils de l'Assurance Maladie
NB : ce sont les médecins qui donnent des avis sur les
prestations de l'Assuarnce Maladie et surveillent la conformité
de la pratique
médicale
quelques
commentaires communiqués par un médecin conseil
Si la partie « passé/actuel »
s’appuyant d’ailleurs sur des rapports
précédents de l’IGAS et de la Cour des Comptes me
semble plutôt bien vue, je crains que la partie
« actuel/futur » soit passée par le filtre
rose des cadres dirigeants qui ont été
auditionnés. Or, comme le soulignent justement les rapporteurs,
le service du contrôle médical est très fortement
hiérarchisé et centralisé, et cette
caractéristique me semble être plutôt un
problème qu’un atout surtout au vu des qualités
professionnelles des dits dirigeants. Et je crains fort que les
rapporteurs aient été
« enfumés » par leurs interviewés
sur le mode de « on a pris toutes les mesures ad
hoc », perpétrant ainsi ce que j’estime
être la singularité de ce service : le
travestissement de la réalité de terrain.
le rapport de l'IGAS peut être téléchargé
ici